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[histoire] La réalité sur les Boulet Ultra Gay
Les Bug : la réalité d'une team de gay au passé sombre.
Depuis la sortie de la V2 du site BUG, beaucoup d'entre vous on pu voir comment le clan s'était formé, son histoire, ses membres(...). Pourtant, on vous ment (je dirais même qu'on vous spolie). Je suis venue me dresser tel l'océan devant le continent (oui ou une vitre devant une mouche, mais c'est moins beau) devant ce mensonge! Voilà la réalité!
----------------------------------------------08/07/09
Paris, une back-room, dans le quartier chaud du Marais.
L'ambiance semble détendu : pompons et froufrous, boas roses en toile, lap dance endiablés de jeune fille qui ont du mal a caché que sous leur mini jupe trop serré se cache des atouts sévèrement burnés... mais les apparences sont a mille lieu de la réalité.
Derrière les soutiens gorges rembourrés, des parrains de la mafia, sous les chapeaux a plume, des dealers et entre les mailles des collants, des trafiquants d'armes. La lumière tamisée cache ce que le soleil dévoile une fois le jour venu : des cicatrices, des membres arrachés des blessures de guerre, et ne dévoile plus que la joie de vivre et le bonheur de vivre l'instant présent.
A une table, seul, Eolf. Ce n'est pas vraiment son nom, ce n'est pas non plus son prénom, pas vraiment un surnom, mais dans le bar, on ne l'appelle pas autrement. C'est sans aucun doute l'attraction de toutes les soirées.
Ces habits sont simple. Une grande robe blanche échancrée dévoilant un jeu de jambe affolant, des poils qui percent le travers de collants troués, un maquillage qui n'a rien a envier a celui de Jackuie sardou sous un masque de Ronald Mac Donald : la classe fait homme.
Comme chaque soir, sur les podium il fait le show, comme chaque idole il se sent seul. Avec ou sans public, il est le même, avec sa mélancolie qui ne le quitte jamais...
...qui ne le quittait jamais!
Son regard , doucement, se détourne de la barre sur laquelle il s'appuyait et se pose sur un jeune homme blond en contrebas...
----------------------------------------------09/07/09
"Salut Beau gosse, t'es nouveau?"
Aucune réponse...
"Hey c'est a toi que je parles, avec la casquette militaire"
Un léger grognement, rien d'audible...puis un regard froid, quelque balbutiements marqués d'un fort accent russe...
"Jé né Komprend pas"
Eolf s'attendrit a la vision de ce jeune étranger perdu dans le Paris de la débauche et de la luxure. Il lui rappelait ses premiers jours dans la capital, seul, sans repère. Enfin il se souvenait surtout que ça fragilité faisait de lui une proie facile pour tous les pervers en manque. Avec une pointe de sensualité il posa sa main sur la veste militaire de Zell...
...mais a nouveau ce regard froid, imperturbable, puis une faille, un petit sourire en coin...Pour Eolf ce sourire semblait coquin, mais n'importe qui un temps soit peu censé y aurait déceler tout les vices du monde. Il faut avouer qu' Eolf était pas du genre fute-fute.
Le sourire se fit de plus en plus crispé et machiavélique, puis en quelque seconde, Zell mis la main a sa poche pour en sortir un Desert Eagle qu'il pointa sur le crane d'Eolf.
Eolf (qui n'est décidément pas fute-fute) sentit une monté d'adrénaline. Il se rappela ces scènes de film a l'américaine ou le méchant menaçait sa victime avant de tomber follement amoureux ... ces romances gnangnan ou la violence était a deux pas du désir... mais Zell était communistes, et fallait pas trop faire confiance a sa sensibilité a la culture anglo-saxonne.
Il pressa la détente, la balle traversa le cerveau, étala une masse grisâtre sur le comptoir, et un rire sonore se fit entendre
"FOR THE GREAT MOTHERLAND CAMARADE MOUHAHAHAHA!!"
----------------------------------------- to be continued
PS : vous pouvez commenter, vous pouvez même me corriger les fautes d'orthographe (z'etes bien brave). Je posterais la suite a la suite des posts et j'éditerais le premier post pour que l'histoire se suive.
Depuis la sortie de la V2 du site BUG, beaucoup d'entre vous on pu voir comment le clan s'était formé, son histoire, ses membres(...). Pourtant, on vous ment (je dirais même qu'on vous spolie). Je suis venue me dresser tel l'océan devant le continent (oui ou une vitre devant une mouche, mais c'est moins beau) devant ce mensonge! Voilà la réalité!
----------------------------------------------08/07/09
Paris, une back-room, dans le quartier chaud du Marais.
L'ambiance semble détendu : pompons et froufrous, boas roses en toile, lap dance endiablés de jeune fille qui ont du mal a caché que sous leur mini jupe trop serré se cache des atouts sévèrement burnés... mais les apparences sont a mille lieu de la réalité.
Derrière les soutiens gorges rembourrés, des parrains de la mafia, sous les chapeaux a plume, des dealers et entre les mailles des collants, des trafiquants d'armes. La lumière tamisée cache ce que le soleil dévoile une fois le jour venu : des cicatrices, des membres arrachés des blessures de guerre, et ne dévoile plus que la joie de vivre et le bonheur de vivre l'instant présent.
A une table, seul, Eolf. Ce n'est pas vraiment son nom, ce n'est pas non plus son prénom, pas vraiment un surnom, mais dans le bar, on ne l'appelle pas autrement. C'est sans aucun doute l'attraction de toutes les soirées.
Ces habits sont simple. Une grande robe blanche échancrée dévoilant un jeu de jambe affolant, des poils qui percent le travers de collants troués, un maquillage qui n'a rien a envier a celui de Jackuie sardou sous un masque de Ronald Mac Donald : la classe fait homme.
Comme chaque soir, sur les podium il fait le show, comme chaque idole il se sent seul. Avec ou sans public, il est le même, avec sa mélancolie qui ne le quitte jamais...
...qui ne le quittait jamais!
Son regard , doucement, se détourne de la barre sur laquelle il s'appuyait et se pose sur un jeune homme blond en contrebas...
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"Salut Beau gosse, t'es nouveau?"
Aucune réponse...
"Hey c'est a toi que je parles, avec la casquette militaire"
Un léger grognement, rien d'audible...puis un regard froid, quelque balbutiements marqués d'un fort accent russe...
"Jé né Komprend pas"
Eolf s'attendrit a la vision de ce jeune étranger perdu dans le Paris de la débauche et de la luxure. Il lui rappelait ses premiers jours dans la capital, seul, sans repère. Enfin il se souvenait surtout que ça fragilité faisait de lui une proie facile pour tous les pervers en manque. Avec une pointe de sensualité il posa sa main sur la veste militaire de Zell...
...mais a nouveau ce regard froid, imperturbable, puis une faille, un petit sourire en coin...Pour Eolf ce sourire semblait coquin, mais n'importe qui un temps soit peu censé y aurait déceler tout les vices du monde. Il faut avouer qu' Eolf était pas du genre fute-fute.
Le sourire se fit de plus en plus crispé et machiavélique, puis en quelque seconde, Zell mis la main a sa poche pour en sortir un Desert Eagle qu'il pointa sur le crane d'Eolf.
Eolf (qui n'est décidément pas fute-fute) sentit une monté d'adrénaline. Il se rappela ces scènes de film a l'américaine ou le méchant menaçait sa victime avant de tomber follement amoureux ... ces romances gnangnan ou la violence était a deux pas du désir... mais Zell était communistes, et fallait pas trop faire confiance a sa sensibilité a la culture anglo-saxonne.
Il pressa la détente, la balle traversa le cerveau, étala une masse grisâtre sur le comptoir, et un rire sonore se fit entendre
"FOR THE GREAT MOTHERLAND CAMARADE MOUHAHAHAHA!!"
----------------------------------------- to be continued
PS : vous pouvez commenter, vous pouvez même me corriger les fautes d'orthographe (z'etes bien brave). Je posterais la suite a la suite des posts et j'éditerais le premier post pour que l'histoire se suive.
Modifié en dernier par cruntett le 08 juil. 2009, 22:17, modifié 1 fois.
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HazeSpecial
- Messages : 1159
- Enregistré le : 20 juin 2008, 22:26
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"Salut Beau gosse, t'es nouveau?"
Aucune réponse...
"Hey c'est a toi que je parles, avec la casquette militaire"
Un léger grognement, rien d'audible...puis un regard froid, quelque balbutiements marqués d'un fort accent russe...
"Jé né Komprend pas"
Eolf s'attendrit a la vision de ce jeune étranger perdu dans le Paris de la débauche et de la luxure. Il lui rappelait ses premiers jours dans la capital, seul, sans repère. Enfin il se souvenait surtout que ça fragilité faisait de lui une proie facile pour tous les pervers en manque. Avec une pointe de sensualité il posa sa main sur la veste militaire de Zell...
...mais a nouveau ce regard froid, imperturbable, puis une faille, un petit sourire en coin...Pour Eolf ce sourire semblait coquin, mais n'importe qui un temps soit peu censé y aurait déceler tout les vices du monde. Il faut avouer qu' Eolf était pas du genre fute-fute.
Le sourire se fit de plus en plus crispé et machiavélique, puis en quelque seconde, Zell mis la main a sa poche pour en sortir un Desert Eagle qu'il pointa sur le crane d'Eolf.
Eolf (qui n'est décidément pas fute-fute) sentit une monté d'adrénaline. Il se rappela ces scènes de film a l'américaine ou le méchant menaçait sa victime avant de tomber follement amoureux ... ces romances gnangnan ou la violence était a deux pas du désir... mais Zell était communistes, et fallait pas trop faire confiance a sa sensibilité a la culture anglo-saxonne.
Il pressa la détente, la balle traversa le cerveau, étala une masse grisâtre sur le comptoir, et un rire sonore se fit entendre
"FOR THE GREAT MOTHERLAND CAMARADE MOUHAHAHAHA!!"
"Salut Beau gosse, t'es nouveau?"
Aucune réponse...
"Hey c'est a toi que je parles, avec la casquette militaire"
Un léger grognement, rien d'audible...puis un regard froid, quelque balbutiements marqués d'un fort accent russe...
"Jé né Komprend pas"
Eolf s'attendrit a la vision de ce jeune étranger perdu dans le Paris de la débauche et de la luxure. Il lui rappelait ses premiers jours dans la capital, seul, sans repère. Enfin il se souvenait surtout que ça fragilité faisait de lui une proie facile pour tous les pervers en manque. Avec une pointe de sensualité il posa sa main sur la veste militaire de Zell...
...mais a nouveau ce regard froid, imperturbable, puis une faille, un petit sourire en coin...Pour Eolf ce sourire semblait coquin, mais n'importe qui un temps soit peu censé y aurait déceler tout les vices du monde. Il faut avouer qu' Eolf était pas du genre fute-fute.
Le sourire se fit de plus en plus crispé et machiavélique, puis en quelque seconde, Zell mis la main a sa poche pour en sortir un Desert Eagle qu'il pointa sur le crane d'Eolf.
Eolf (qui n'est décidément pas fute-fute) sentit une monté d'adrénaline. Il se rappela ces scènes de film a l'américaine ou le méchant menaçait sa victime avant de tomber follement amoureux ... ces romances gnangnan ou la violence était a deux pas du désir... mais Zell était communistes, et fallait pas trop faire confiance a sa sensibilité a la culture anglo-saxonne.
Il pressa la détente, la balle traversa le cerveau, étala une masse grisâtre sur le comptoir, et un rire sonore se fit entendre
"FOR THE GREAT MOTHERLAND CAMARADE MOUHAHAHAHA!!"
Je me fait assassiner par mes sous fifres 
J'ai pas encore eu le temps de tout lire.
J'ai pas encore eu le temps de tout lire.
Modifié en dernier par Eolf le 08 juil. 2009, 23:29, modifié 1 fois.