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Je parlais de la consommation de drogue.Fait un procès à SUPER U.
C'est parce que tu es asocialEt puis je préfère fumer un joint en rentrant du taff pour décompresser de la journée, que de finir au bar à boire de la piquette avec les collègues à la sortie du taf.
Désolé j'ai pas d'amis IRL je suis 22H/24 dans une cave à faire de la came dans des bidons crados et à me faire fouetter si j'en fais tomber.J'aimerais savoir combien de jeunes que tu connais consomment de l'alcool en soirée/au repas, et combien d'entres-elles sont alcoolique, je pense que le taux serait assez drôle à lire.
Justement, cela a un coût.ce que tu n'as pas l'air de comprendre c'est que dépénaliser/légaliser entraîne la création de structures de contrôle et des structures de santé,
C'est un contre exemple, mais citer un chiffre sur une période de 2004 à 2008 avec le seul exemple du Portugal, ne peut pas en faire une loi générale avérée. Et d'ailleurs je pense que la crise a modifié probablement certains comportement de consommateur. Et que la situation dépend de beaucoup de facteur propre au pays.l'exemple du Portugal en est la preuve
Aucun rapport entre le fait de pas reconnaître d'être dépendant et la probabilité de devenir accro quand on consomme, désolé.stratege a écrit : Concernant ma famille et amis oui j'ai des cas de ce style la, et justement quand certaines personnes deviennent dépendante, souvent ils ne l'acceptent pas eu même.
Doit manquer un bout de phrase.stratege a écrit : Il y a un vrai marché sur la dépendance, et si la légalisation entraine des taxes exorbitantes pour amortir le coup des structures mais surtout renfloué les caisses de l'état.
Pas la bonne définition de contre exemple. Les pays-bas ont aussi des chiffres corrects malgré le fait de pouvoir fumer dans un magasin en centre-ville. Pour les chiffres du Portugal, les chiffres sont fait avec 10 ans de mesures. Au passage tu dis "période de 2004 à 2008" et tu parles de la crise, c'est assez drôle puisqu'elle a "commencé" en 2007/2008. Et dans le cas où la crise touche la consommation de drogue, pourquoi les Portugais seraient-ils les seuls touchés ?stratege a écrit : C'est un contre exemple, mais citer un chiffre sur une période de 2004 à 2008 avec le seul exemple du Portugal, ne peut pas en faire une loi générale avérée. Et d'ailleurs je pense que la crise a modifié probablement certains comportement de consommateur. Et que la situation dépend de beaucoup de facteur propre au pays.
je pense qu'envisager la légalisation du canabis est une aberration, à la limite la dépénalisation peut-être évoqué.
Je n'ai pas dis le contraire.Aucun rapport entre le fait de pas reconnaître d'être dépendant et la probabilité de devenir accro quand on consomme, désolé.
J'ai juste fait l'hypothèse que certains comportements ont peut être changé.Et dans le cas où la crise touche la consommation de drogue, pourquoi les Portugais seraient-ils les seuls touchés ?
Effectivement, j'ai ctrl+X dans le vent.Doit manquer un bout de phrase.
Il n'y a aucune logique. Interdiction ne rime pas forcément avec addiction. Certes, il y a une propension chez les jeunes à vouloir défier l'interdit, mais la plupart des consommateurs consomment car ils aiment ça, et une dépénalisation/légalisation ne les empêchera pas de continuer à consommer, si ce n'est à augmenter leur consommation. Levée de l'interdiction -> chute des risques judiciaires.fandesandro a écrit :On sait que l'Homme a tendance à faire quelque chose d'interdit, parce que c'est interdit. La légalisation entraînerait donc logiquement une baisse de la consommation (ou du moins une baisse de la consommation excessive, comme le prouvent les chiffres portugais).
Il pourrait y avoir une création d'emplois, certes, mais peut-être pas autant que tu le penses. Les structures de santé, avant d'embaucher, faut pouvoir les financer. Et là, disons que nous ne sommes pas dans de bonnes dispositions économiques. Puis concernant le personnel qualifié, on galère déjà dans nos hôpitaux en recrutant des aide-soignants ou sage-femmes en Espagne... Et quand bien même les structures de santé verraient le jour, qui dit que les tox se déplaceront d'eux-mêmes là-bas ? Il y a toujours une image négative autour du cannabis, c'est bien pour ça que très peu de fumeurs de joints fument en public, de la même manière que les alcooliques ne vont pas forcément au bistrot pour se saouler.La légalisation du cannabis, s'il est taxé, rapporterait à l'état (sans compter l'arrêt des frais effectués afin d'attraper les dealeurs/possesseurs de drogue, qui se soldent souvent en échecs). La production (ainsi que la revente) serait donc légale et contrôlée, apportant donc une création d'emplois. Des structures de santé seraient aussi mises en place afin de traiter les toxico, amenant encore une fois une création d'emplois. Le probable tourisme lié à la drogue est aussi à prendre en compte. Côté économie ce serait donc plutôt un bon point pour la France.
Les Pays-Bas, c'est petit joueur niveau consommation par rapport à la France (plus grand pays européen consommateur de cannabis). Mais niveau vente de drogues dures, ils sont pas mal situés, et ce depuis longtemps. Ils ont deux des plus grands ports européens, leurs douanes sont faciles à franchir (vu de mes propres yeux au port d'Anvers).Pourtant, comme on le voit aux Pays-Bas, cela peut entraîner une augmentation du marché noir de la drogue dure et donc une économie souterraine et une consommation non-contrôlée.
Il serait intéressant d'avoir des chiffres comparant les personnes qui ont commencés juste "pour voir/par plaisir" et ceux qui ont commencés parce que c'est interdit, si quelqu'un a une étude là-dessus je suis preneur. Je me suis basé sur les personnes que je connais qui consomment, et celles-ci ont très souvent commencés parce que c'est interdit.$aint a écrit :Certes, il y a une propension chez les jeunes à vouloir défier l'interdit, mais la plupart des consommateurs consomment car ils aiment ça
Je pense que ça devrait être rentable à long terme (des patients mieux traités et avec un meilleur suivi, ainsi qu'une meilleure prévention de façon générale), pour ce qui est du personnel qualifié j'avoue que je ne connais pas le sujet.$aint a écrit :Il pourrait y avoir une création d'emplois, certes, mais peut-être pas autant que tu le penses. Les structures de santé, avant d'embaucher, faut pouvoir les financer. Et là, disons que nous ne sommes pas dans de bonnes dispositions économiques. Puis concernant le personnel qualifié, on galère déjà dans nos hôpitaux en recrutant des aide-soignants ou sage-femmes en Espagne...
Une dépénalisation/légalisation entraînerait un changement des mœurs sur le moyen/long terme je pense.$aint a écrit : Et quand bien même les structures de santé verraient le jour, qui dit que les tox se déplaceront d'eux-mêmes là-bas ? Il y a toujours une image négative autour du cannabis, c'est bien pour ça que très peu de fumeurs de joints fument en public, de la même manière que les alcooliques ne vont pas forcément au bistrot pour se saouler.
Là ça dépend des dealeurs et des peines encourues en cas d'achat illégal. On pourrait imaginer le système d'une carte à puce à passer lors d'achat en magasin, que la police entrerait dans une machine pour vérifier que la drogue a été achetée en magasin et une forte amende (voire plus) en cas de possession de drogue achetée illégalement (c'est juste une idée comme ça je ne sais pas combien de ce genre de système pourrait coûter).$aint a écrit : Economiquement, on aurait sûrement droit à une croissance sur ce point, mais je crains que cela ne fera que renforcer le marché noir. La France va forcément taxer le cannabis à hauteur de l'alcool ou des cigarettes. Les consommateurs se tourneront donc toujours vers les dealers qui ont fait passé leur marchandise clandestinement.
Bah oui... *-*L'alcool c'est une drogue dur
Bien sur que c'est une drogue dure m3mo, et dans le cadre de cette discussion bien plus dangereuse et nocive que la beuh, de même pour le tabac...m3mo a écrit :Bah oui... *-*L'alcool c'est une drogue dur