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Hervé est tout aussi caricatural que Kévin dans le doc, à partir du moment où tu recrutes des commerciaux, les profils "extrêmes" que l'on voit dans le doc sont fréquents. Je rejoins Freddy sur les notions évoquées, les grandes entreprises sont parfois aujourd'hui un nid à conneries.New York a écrit :FAKE ! Je suis persuadé que le Kevin est un personnage construit de toute pièces pour garder cette image des Kevin.![]()
Par contre j'ai bien aimé les remarques de Hervé
-Sublim3z- a écrit :Faut pas rêver, aujourd'hui un sous est un sous. Les recruteurs n'ont plus vraiment le temps de s'occuper à fond de toutes les offres d'emploi en un laps de temps très court. Le recrutement de groupe permet de voir tout les candidats potentiel dans un même lieu, voir directement leurs réactions devant des cas concret, et voir à quel point ils sont prêt pour le job.
Qualité ≠ qualité
Un entretien d'embauche, ça se prépare, on se doute des questions. Un recrutement de groupe, tu ne seras jamais les tenants et aboutissants, tu ne peux pas le préparer tant les situations peuvent être différentes. La seule chose qui peut te sauver: être toi même.
Si tu es toi même comme l'on été la plupart des candidats, mais regarde le résultat 3 de sélectionnes sur une douzaine de départ .
C'est malheureux, horrible sur certains points, mais c'est une nouvelle façon de recruter qui se démocratise de plus en plus. Cela permet aux entreprises d'embaucher vite et rentable.
Vite fait mal fait quoi. 1 seul au final passe la phase d'essai au travail .
C'est un nouveau monde du travail qui s'esquisse, où le travail devient un combat, les recruteurs se sentent en position de force car ils savent que devant eux beaucoup attendent énormément d'un travail et qu'ils sont en position de soumission.
Ouais ça revient on vit dans un monde de putes, on sait que vous êtes en chien alors vous allez prendre pour voir si vous avez les épaules pour travailler pour nous. Je reste sur mes positions, pas besoins d'en arriver là même dans le monde du commercial .
Cordialement
NB: Je tiens à préciser que je suis largement contre les recrutements de groupe ^^ De même je n'ai aucun grief contre les DRH's, au contraire. Par contre, il faut avouer que certains ne se privent pas de leur statuts ( comme partout d'ailleurs )
Là on est d'accord
-Sublim3z- a écrit : C'est un nouveau monde du travail qui s'esquisse, où le travail devient un combat, les recruteurs se sentent en position de force car ils savent que devant eux beaucoup attendent énormément d'un travail et qu'ils sont en position de soumission. )
A la différence que ces conditions se sont estomper au fur et à mesure du temps, que le travail est largement devenu plus " abordable " je dirais. La notion de lutte pour un travail n'avait pas du tout son sens au XXème après les deux guerres mondiales par exemple.Empire a écrit :
Alors là faudra m'expliquer ce qu'il y a de nouveau? A la fin du XIXè siècle dans l'Angleterre capitaliste, le travail était déjà un combat, faut aussi arrêter de voir des évolutions majeures dans le monde là où il n'y en a pas.
CordialementEmpire a écrit :Nan mais il y a aucune différence avec l'après seconde guerre mondiale. L'American Way of Life et le Self Made Man c'était pas des théories qui prônaient la paix sociale ou alors une forme de bien-être, au contraire c'était limite plus acéré que maintenant dans l'optique de la concurrence et de l'égoïsme primaire: moi avant tout monde.
/ C'est pas faux, cependant trouver du travail à cette période restait encore abordable. Je ne parle pas après des travails "porteur", où là je te l'accorde, c'est chacun pour soi et dieu pour tous. On a certes une individualisation du travail, où chacun doit etre supérieur à l'autre, mais la possibilité de trouver un travail était bien plus grande après l'entre et les deux guerres qu'aujourd'hui
Et au contraire aujourd'hui, on a connu des crises d'ordre planétaire du fait notamment de la mondialisation, ce qui fait que bien souvent les mesures sociales prises par les Etats peuvent atténuer cette charge trop négative qu'on pourrait trouver aujourd'hui. Les conditions sont bien meilleurs imo.
/ Je parle en terme de trouver en travail, pas adoucir le travail. Aujourd'hui, les " mesures sociales " ( je ne rentrerai pas sur ce débat de fond, car hors sujet par rapport à ici malgré que ce soit intéressant ) concerne surtout voir uniquement les conditions de travail, pas l'accès au travail.
Alors je pense pas, tu m'excuseras, mais à mon sens, on ne peut absolument pas dire que la notion de "combat pour un travail" est nouvelle.
/ D'accord avec toi, d'ailleurs je n'ai jamais dis qu'elle était nouvelle, j'indique juste qu'elle revient plus au XXI ème siècle. Après, ça n'engage que mon analyse, mais de 1949 à 1971, la notion de combat pour un travail n'avait pas son sens. On peut citer les Trentes glorieuses, ou tout le monde trouvait du travail sur un claquement de doigt.
Et je vais peut-être te devancer, mais je pense pas non plus qu'on puisse retourner l'argument en disant que la nouvelle forme des crises (qui, d'ailleurs, n'est pas nouvelle du tout, mais passons) accentuerait le combat pour le travail. Le chômage il a toujours existé, et les conditions ont pu être meilleurs, mais ça c'est pas pour autant que l'absence de qualification ou l'incompétence nette permettait forcément d'avoir le poste convoité.
/ Oui et non, les crises ne favorisent pas le combat pour le travail, ça je suis tout à fait d'accord avec toi. Par contre la crise a effet indirect sur les entreprises, qui vont couper des budgets d'embauches par exemple, et au lieu d'avoir 3 places de dispo sans crise, tu n'en aura qu'une, donc là tu devrais plus te battre qu'avant.
Mais bon je te l'accorde, la très forte tertiarisation à partir des années 1970 a agrandi les écarts en matière de salaire.
/ indeed
Justement, les mesures sociales entreprises étaient justement bien souvent des mesures en réponse au chômage de type keynésiennes et qui donc permettaient l'amélioration de l'accès au travail !Je parle en terme de trouver en travail, pas adoucir le travail. Aujourd'hui, les " mesures sociales " ( je ne rentrerai pas sur ce débat de fond, car hors sujet par rapport à ici malgré que ce soit intéressant ) concerne surtout voir uniquement les conditions de travail, pas l'accès au travail.
J'espère qu'on parle bien toujours de la France, hein, et sinon malheureusement l'état de plein-emploi a jamais pu être atteint. Et tout le monde n'en trouvait pas: on peut évoquer la condition féminine qui n'est vraiment reconnue que très tard dans les années 1970On peut citer les Trentes glorieuses, ou tout le monde trouvait du travail sur un claquement de doigt