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Ce que j'ai voulu dire, c'est que les médecins, psychiatres ou non, ont tendance à trop prescrire ce genre de traitements$aint a écrit :Hyper-dangereux.M@ToOf a écrit :J'ai un ami qui a eu une dépression grave il y a quelques années (3 mois d'hp + traitement anxiolytique + somnifères) On lui a bougé son cul, je l'ai forcé à tout arrêter son traitement malgré l'avis de son doc, (il lui a demandé s'il pouvait arrêter, il lui a dit que c'était pas possible) un mois après il était un autre homme.
Il aurait suffit que ton pote ne soit pas correctement diagnostiqué (bipolaire, borderline, etc.) et quelques mois plus tard, il aurait clairement pu faire une rechute bien plus grave. Faut savoir qu'un français sur trois souffre de troubles psychiatriques (à tout niveau), certains sont capables de gérer leurs passages dépressifs, maniaques ou autres, par eux-mêmes, d'autres ont besoin d'anxiolytiques pour s'en sortir. L'arrêt du traitement peut conduire une personne à passer de sa phase "up" ou "down" vers un état normal, et quelques mois plus tard, basculer dans l'un ou dans l'autre, à un niveau plus extrême encore (TA, automutilation, etc.).
Cela dit, content que ton pote s'en soit sorti !
Un psychiatre. Ceci explique sans doute celaaxiome a écrit :1/3 souffre de trouble psy ? Source du chiffre ?
Ça doit sans doute être les chiffres des labos pour justifier le fait que la France soit le premier consommateur d'antidep et autre neuroleptiques.